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Une ville en perpétuel mouvement
Longtemps considéré comme une ville d’escale entre la Patagonie et le Désert d’Atacama, Santiago du Chili est devenue ces dernières années, une capitale branchée où musées, galeries d’art, parc boisés, hôtels de charme fleurissent avec pour superbe toile de fond la majestueuse Cordillère des Andes; faisant de la capitale du Chili une étape incontournable.
Santiago se situe, très grossièrement au centre du Chili. Elle est séparée d’environ 1700km à vol d’oiseau avec la ville septentrionale d’Arica et d’approximativement 2200km en ligne droite avec la ville australe de Punta Arenas. La capitale chilienne appartient à la Région Métropolitaine de Santiago, au cœur de la Vallée Centrale. La Cordillère des Andes domine un paysage de type méditerranéen, où plantations agricoles et viticoles font de la Région Centrale le grenier à riz du pays.
Divisé en 32 communes, Santiago réunie près de 7 millions de chiliens, soit plus d’un tiers de la population totale. Le pays s’est centralisé, dans presque tous les domaines, sur la ville, faisant d’elle bien plus qu’une capitale politique et administrative.
Sa proximité avec Valparaiso, ville haute en couleur et la Cordillère des Andes, offre de nombreuses possibilités de séjours multiactivités : les stations de ski ravient les amateurs de glisse l’hiver et les randonneurs et amateurs de balade à cheval s’enivrent des paysages de montagne à couper le souffle.
Les témoignages de passage de tribus nomades remontent environ à -10 000 av. JC. Les premiers hommes à s’installer dans la région sont de proches ascendants des Mapuches: les Picunches et les Promaucaes.
Moins de 100 ans après l’arrivée des Incas, Pedro de Valdivia fonde la ville de Santiago de la Nueva Extramadura le 12 février 1541. Les Mapuches sont rapidement boutés au sud de la Région Centrale par les Conquistadors espagnols.
Le Chili se libère du joug espagnol et déclare son Indépendance en 1818.
Le développement de la Capitale croit rapidement à l’instar de sa population.
Avec l’industrialisation, Santiago se dote à son tour des nouvelles technologies et progrès mondiaux. Au début du XXe siècle, la capitale cède la première place du podium à sa voisine Valparaiso qui devient le pôle financier du Chili. Mais la capitale reprend ses droits au milieu du siècle avec le déclin de la zone portuaire de Valparaiso et le retrait des investisseurs étrangers.
Le centre de Santiago est ensuite le théâtre des évènements du coup d’Etat de 1973. La fin de ces sombres années arrive au début des années 90 avec le retour de la démocratie au Chili. Les années 2000, le pays voit sa croissance économique exploser. La capitale se modernise, de nombreux immeubles de haut standing jaillissent de terre, des musées (Centro Cultural Gabriela Mistral, Musée de la Mémoire et des Droits Humains) ouvrent leurs portes et des parcs verdoyants voient le jour.
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Santiago Centro
Barrio Cívico
Barrio Lastaria & Barrio Bellas Artes
Barrio Bellavista
Barrio Brasil, Yungay et Quinta Normal
Barrio Paris-Londres
