L’aridité de ces régions ne rime pas avec neutralité des tons, les couleurs restent omniprésentes.
Les parures andines chamarrées, le ciel bleu, les lagunes turquoise, les roches minérales et les dégradés de vert des oasis sont autant de teintes et de nuances qui magnifient et pimentent ces paysages étonnants. Le sol, dépourvu de végétation, s’étale comme pour mieux exposer à nos regards la formation de ses créations millénaires : salars, volcans, cordillères et canyons.
Nos rencontres avec les habitants heureux d’accueillir et transmettre leurs traditions offrent une occasion rêvée de parfaire notre voyage.
JOUR 1 DÉPART EUROPE – VOL INTERNATIONAL POUR BUENOS-AIRES
Jour 2 ARRIVÉE A BUENOS-AIRES
Jour 3 BUENOS-AIRES
Jour 4 BUENOS-AIRES - VOL JUJUY - IRUYA
Jour 5 IRUYA – TILCARA – HUMAHUACA - SALTA
Jour 6 SALTA – CAFAYATE
Jour 7 CAFAYATE – CACHI
Jour 8 CACHI – SAN ANTONIO DE LOS COBRES - PIEDRAS ROJAS – SOCAIRE
Jour 9 SOCAIRE - LAGUNAS ALTIPLANICAS – SALAR D’ATACAMA – JEREZ – SAN PEDRO D’ATACAMA
Jour 10 SAN PEDRO – VALLE DE LA LUNA – TERMAS
Jour 11 SAN PEDRO – BOLIVIE – HITO CAJON – LAGUNES VERDE ET COLORADAS
Jour 12 DESERT DE SILOLI – SALAR D’UYUNI
Jour 13 SALAR D’UYUNI – VILLAGE D’UYUNI – VILLA MAR
Jour 15 VILLA MAR - SAN PEDRO D’ATACAMA
Jour 16 SAN PEDRO – CALAMA
Jour 17 SANTIAGO – AÉROPORT – VOL INTERNATIONAL POUR L’EUROPE
Jour 18 ARRIVÉE EN EUROPE
Ce circuit tout public permet de découvrir les paysages désertiques sublimes de ces 3 superbes pays et offre l’avantage de partager un moment de vie auprès de deux communautés en étant hébergé chez l’habitant.
Départ d’Europe et vol international de nuit en direction de l’Argentine.
Arrivée dans la matinée (selon horaires de vol), accueil par votre guide francophone puis installation.
Les influences migratoires font de Buenos Aires la capitale la plus européenne d’Amérique Latine.
Symbolisée par le fameux Obélisque, vous dévalez l’Avenue 9 de Julio, « l’avenue la plus vaste du monde ». Vous apercevez en chemin le Teatro Colón, avant de parvenir au Centre et sa Plaza de Mayo autour de laquelle se situent la Casa Rosada ou Casa del Gobierno, le Calbildo, et la cathédrale.
Vous terminez la journée par la découverte du quartier bohème de San Telmo, avec l’opportunité peut-être de croiser une des nombreuses pistes de danse improvisée des danseurs amateurs de Tango. San Telmo se caractérise aussi par son marché dominicale atypique.
Repas: Libres
En début de matinée, découverte du quartier de Palermo Chico, succession d’édifices résidentiels coloniaux où ont demeuré de nombreux personnages historiques, aujourd’hui habités par de riches argentins.
Arrêt dans les superbes galeries commerciales Pacifico, où verrières, fresques murales, dômes et voûtes nous rappellent l’influence française de la fin du XIX siècle.
Puis vous vous dirigez au cimetière de La Recoleta où sont enterrées de nombreuses célébrités argentines.
Vous poursuivez dans le quartier de Palermo et son parc Tres de Febrero, considéré comme le poumon de la ville.
Puis vous arpentez la rue d’El Caminito, symbole du quartier de La Boca où peintres, danseurs de tango et chanteurs se côtoient sur fond de maisons en bois colorées.
Soirée milonga : initiation au tango et concert dans un bar authentique et populaire de la ville.
Repas: BD
Votre chauffeur vous récupère et vous dépose à l’aéroport 2h15 avant le départ du vol pour Jujuy.
De son vrai nom San Salvador de Jujuy, la ville se situe à 1260m d’altitude. Elle est la porte d’entrée d’une région où transparent encore les traditions indigènes andines.
Dès l’atterrissage de l’avion, vous êtes accueillis par votre guide local fancophone avec lequel vous poursuivez immédiatement la route.
Vous remontez toujours plus au nord, la vallée se poursuit et offre de beaux panoramas rocheux, arides et colorés. Vous bifurquez ensuite en direction du col du Condor, aussi majestueux que l’oiseau, il s’élève à 4000m d’altitude. La route est splendide, lamas, chèvres, moutons ou encore ânes parsèment un paysage d’une tranquillité si intense que l’on se sentirait presque au bout du monde. Puis vous atteignez Iruya, village insolite, perché sur le flanc de la montagne, à 2780m d’altitude.
Laissez-vous chavirer par le charme fou du village au gré d’adorables petites rues : l’église Nuestra Señora del Rosario, le quartier de la Tablada, le bèlvédère d’Iruya, le cimetière.
Repas: BLD
Départ pour Tilcara en début de matinée. Petite marche entre les vestiges de sa pucara, forteresse construite par la tribu Tilcara, il y a entre 900 et 1000 ans.
En chemin, les couleurs des montagnes de la vallée de Humahuaca sont splendides. Vous poursuivez plus au sud jusqu’à « Salta la belle », dont le charme colonial séduit tous ses visiteurs.
Repas: BL
La matinée est consacrée à la visite de la ville et de ses principaux monuments: la Cathédrale San Francisco, le Cabildo et le musée MAAM – Musée d’Archéologie de Haute Montagne – et ses fameuses momies.
Après le déjeuner, départ pour Cafayate, petit village viticole du sud de la région.
En chemin vous traversez la Quebrada de las Conchas, 50km d’une formation géologique moderne façonnée par l’eau et le vent, mêlant failles, canyons, ravins, pitons rocheux, dans des tons ocre et rouges, formant un paysage de toute beauté.
Arrivée à Cafayate pour le diner que vous pouvez accompagnez d’une dégustation de vins.
Repas: B
Ce matin vous prenez la fameuse Ruta 40 en direction du nord.
Vous traversez la spectaculaire Quebrada de las Flechas, une succession de montagnes rocheuses lunaires errodées.
Vous empruntez la piste sinueuse de la Vallée de Calchaquiès qui mène au village de Seclantas. Outre ses rues pavées et ses maisons faites d’adobe (boue) et de paille, cette petite communauté est réputée pour être le berceau du Poncho Salteño. D’autres pièces sont également confectionnées tels que tapis, pullovers, bonnets, plaids, couvertures. Tissés à base de laine de lamas, moutons et plus rarement vigogne, plusieurs générations de familles pratiquent cet art dont vous êtes les témoins aujourd’hui.
Arrivée dans l’après-midi à Cachi où charme colonial et tradition andine se mélangent gracieusement.
Repas: B
Départ matinal pour la cordillère des Andes et le territoire chilien. En route, bref arrêt au viaduc de la Polvorilla, seul viaduc au monde construit à une telle altitude. C’est ici que transite le fameux Tren de las Nubes (train des nuages). Vous poursuivez toujours plus à l’ouest jusqu’au passage frontière. Le Chili ouvre ses portes sur un paysage altiplanique à couper le souffle. C’est à 4300m d’altitude que vous contournez la laguna tuyacto cernée de son liseré de minéral blanc puis parvenez au secteur de Piedras Rojas.
Un spectacle grandiose se dégage sous vos yeux. Les montagnes ocre, rouges, taupe, saupoudré de gris, surplombent un salar inondé, passant du bleu turquoise au vert émeraude. La teinte vermeille de la roche qui l’enserre offre un contraste de couleurs somptueux que seule une envolée de flamants roses pourrait sublimer ! Ah les voilà !
C’est à 3200m d’altitude, dans le petit village du nom de Socaire que vous passez la nuit, chez l’habitant.
A Noter: Les passages frontières peuvent parfois être longs en fonction de l’affluence.
L’équipe de chauffeur/guide et véhicule argentine sera remplacée dès le jour suivant par l’équipe chilienne.
Repas: BLD
Vous repartez sur les traces de la veille pour bifurquer rapidement jusqu’aux superbes lagunes d’altitude de Miscanti et Miñiques, situées à plus de 4000m. Cette partie de la réserve de Los Flamencos permet d’observer de nombreuses espèces d’oiseaux. Si vous êtes chanceux, vous apercevrez peut-être des vigognes, des renards, des suris (autruche andine)…
A la descente sur le salar d’Atacama ; le parc national de Chaxa, vous accueille et vous dévoile sa blancheur éblouissante et ses excroissances dentelées incongrues. Les formes coniques parfaites de la chaine volcanique des Andes complètent ce paysage surréaliste. Après une petite balade dans la vallée fertile de Jerez ainsi que dans le village blanc de Toconao, vous arrivez dans l’oasis de San Pedro.
A Noter: Le véhicule, le chauffeur et le guide argentins sont remplacés par l’équipe chilienne.
Repas: BL
Afin d’apercevoir les premiers rayons du soleil transpercer les Andes, vous rejoignez la corniche de la Vallée de la mort située à 3km du village.
Après le petit-déjeuner, vous vous infiltrez dans cette aride et solitaire contrée entourée de dunes de sables et de parois rocheuses ciselées et modelées par l’érosion.
Vous accédez ensuite à la Vallée de la Lune, un superbe condensé de paysages désertiques et lunaires sculptés par l’eau et le vent. Entre la brutalité des crêtes acérées, canyons et ravins ; la douceur des courbes fluides des dunes de sable et les couleurs ocre et rouge ; cet endroit ne manque définitivement pas de caractère.
Dans l’après-midi, vous partez vous relaxer dans les eaux chaudes des splendides thermes de Puritama. Encaissées entre les parois rocheuses d’un joli canyon, plusieurs piscines naturelles jonchent la rivière, entourées d’arbres à pampa et reliées par de petites passerelles de bois.
A Noter: En compagnie de votre guide, vous effectuez de courtes balades à pied pour vous rendre sur les différents sites.
Pensez à vous munir d’un chapeau, de lunettes de soleil, de crème solaire, de chaussures confortables fermées, et de vêtements chauds pour vous abriter du froid et du vent, notamment le soir venu.
Repas: B
La demi-journée est libre afin de se reposer du rythme soutenu du séjour. Vous pouvez également compléter quelques achats artisanaux et déambuler dans les rues en terre de la charmante oasis. L’église et la place ombragée invite à la flânerie.
En milieu d’après-midi, rencontré avec une llamera, une bergère de lamas! Sur les pas des caravanes ancestrales de lamas, notre amie Lickan Antay partage son savoir sur sa culture et ses légendes en votre compagnie et celles de nos fidèles camélidés. Ce tour de l’oasis de Coyo, partie intégrante de San Pedro s’accompagne d’une visite chez un artisan, qui vous dévoile son savoir-faire et ses anecdotes. Vous terminez la journée par une dégustation de produits du terroir.
Repas: B
Vous prenez la route pour le passage frontière d’Hito Cajon, situé à 45km de San Pedro. Aux pieds des volcans, à 4200m d’altitude, vous faites connaissance avec votre guide local francophone et vous embarquez à bord de votre 4x4.
Les lagunas Blanca et Verde, surplombées par les majestueux volcans Licancabur et son frère Jurique, offrent de magnifiques teintes émeraudes.
La journée se poursuit entre formations de pitons rocheux érodés, montagnes colorées, le tout sur un plateau désertique nommé Dali, pour sa palette de couleurs variées.
Bref arrêt aux thermes de Polques.
Puis vous atteignez l’altitude maximum de 4990m sur le site de Sol de Mañana, constellé de cratères, de geysers et de fumerolles.
Vous terminez la journée aux bords de la Laguna Colorada, d’une intense couleur rouge, obtenue par la présence de millions de micro-organismes appelés artémia.
A Noter: Nuit en refuge et en dortoirs de confort sommaire. Salle de bain commune, eau froide.
Repas: BLD
Vous poursuivez toujours plus au nord et traversez le désert de Siloli et ses fameux « Arbre de Pierre » et « collines aux 7 couleurs » ; où vous aurez peut-être l’occasion de croiser le chemin des vizcachas, un rongeur typique de l’Altiplano.
Votre itinéraire vous conduit ensuite sur la « Route des joyaux », en direction des lagunes Honda, Ch’arkota, Hedionda et Cañapa où vous aurez l’occasion d’observer les différentes espèces de flamants roses.
Arrêt pour admirer les fumerolles du volcan Ollague (situé au Chili). Le mirador se situe sur un superbe champ de rhyolite, une roche magmatique volcanique de couleur rosée.
Redescente ensuite vers le Salar de Chiguana situé à 3650m d’altitude, s’étendant au pied du volcan Tomasamil (5870m).
Arrêt à San Juan de Rosario où la culture de la Quinoa et l’élevage de lamas font vivre ce petit village, surtout connu pour son musée de plus de 300 pièces archéologiques des civilisations passées : Tiwanakus, Señorios puis Incas.
Nuit aux abords du Salar d’Uyuni.
A Noter: Nuit en refuge et en dortoirs de confort sommaire. Salle de bain commune, eau froide.
Repas: BLD
Désert d’Uyuni, le plus vaste désert de sel au monde, son blanc immaculé, ne semble pas offrir d’horizon, au point de se demander où nous conduit ce périple. C’est alors que se dévoile sous vos yeux ; l’Isla Incuahuasi, une ile d’origine volcanique recouverte d’une centaine de cactus. Vous posez pieds sur l’ile (entourée d’eau pendant la saison des pluies, la rendant alors inaccessible) afin d’y effectuer une courte promenade.
Puis cap vers Uyuni, continuant la traversée de ce spectaculaire Salar au parterre de pavés hexagonaux. Arrêt en route dans le village de Colchani, aux abords duquel vous pouvez admirer les monticules coniques salins des usines alentours.
Puis visite d’Uyuni et de son cimetière de trains.
Après le déjeuner, vous reprenez la route en direction du Chili.
Nuit dans le petit village de Mallku Cueva, également appelé Villa Mar.
A Noter: Nuit en refuge et en dortoirs de confort sommaire. Salle de bain commune, eau froide.
Repas: BLD
Fin de la traversée du sud Lipez. Arrivée à la frontière bolivienne.
Vous effectuez les documents de passage des douanes puis après avoir retrouvé l’équipe locale chilienne, vous empruntez une route vertigineuse de 45km jusqu’à la petite oasis de San Pedro. Fin de journée libre pour vous reposer.
En Option: -Balade en vélo dans les différents ayllus – oasis – de San Pedro.
-Visite des Lagunas Tebenquinche, Ojos del Salar et Cejar dans laquelle, (selon la température de ses eaux) vous terminez par une baignade.
A la nuit tombée, rendez-vous à l’agence astronomique situé dans le village. Une navette vous conduit à l’observatoire privé de l’astronome français Alain Maury.
Préservé de toute pollution électrique et de particules dans l’air, le ciel d’Atacama est un des plus purs de la planète. Venez découvrir la voie lactée comme vous ne l’avez jamais vue.
C’est dans le Salar d’Atacama, la tête sous les étoiles qu’un spécialiste et son laser, instrument indispensable, vous propose une introduction simplifiée à l’astronomie, notre espace, son histoire, ses constellations… Puis grâce à la dizaine de télescopes vous savourez l’instant tant attendu : l’observation du ciel austral, un moment intense et excitant.
A Noter: Cette excursion est soumise aux conditions météo et aux cycles lunaires.
Le tour astronomique n’est confirmé que quelques heures (voir minutes, en période des pluies) avant le début de la visite. En cas d’annulation, le tour peut être reporté ultérieurement ou remboursé.
Les visites sont effectuées en service regroupé de 24 personnes maximum.
Le tour est disponible en français, espagnol, anglais suivant les dates et horaires.
La visite débute à 19h en hiver et à 21h en été et dure 2h30 environ.
Prévoir des vêtements chauds, la température est négative en hiver et avoisine les 5°C en été.
Repas: B
Tout de suite après le petit-déjeuner, transfert pour Calama où votre vol retour pour la Capitale vous attend.
Arrivés à Santiago, accueil par votre guide francophone puis transfert et installation à l’hôtel. Vous partez ensuite découvrir la ville et ses principaux attraits.
Située entre la Cordillère de la Côte à l’ouest et la Cordillère des Andes à l’est, Santiago est une ville attrayante. Accompagnés de votre guide, vous arpentez les rues de la capitale pour découvrir ses principaux monuments: le Palais de la Moneda, la Plaza de Armas, le marché central, les quartiers de Bella Vista, Lastarria et Santa Lucia…
A Noter: Le programme du city-tour de Santiago est adapté selon les horaires du vol Calama-Santiago et selon vos envies.
Repas: B
Matinée libre puis transfert à l’aéroport, 3 heures avant le depart du vol international.
Repas: B
Cet itinéraire n’est qu’un échantillon possible des excursions que nous proposons. Il est modifiable et évolutif selon vos envies. N’hésitez pas à nous faire part de vos idées. C’est avec votre collaboration que nous vous créerons un circuit sur-mesure.
-Un guide local francophone avec véhicule privé lors des excursions, sauf mentions contraires. Dans ce cas il s’agit d’un chauffeur-guide hispanophone et/ou anglophone.
-Les transports terrestres ou fluviaux durant le circuit, que ce soit en bus de ligne ou véhicule privé avec chauffeur, comme mentionnés au programme.
-Les excursions décrites dans le programme (sauf les excursions notées « En Option »).
-Toutes les nuits en hébergement base double avec petit déjeuner (B) que ce soit en Auberges de Jeunesse, Hostals, Bed & Breakfast, refuges, bivouacs ; bus de ligne, Hôtels… Sauf mentions contraires.
-Les repas mentionnés dans le programme : B = Breakfast/Petit-déjeuner;
L = Lunch/Déjeuner ; D = Diner/dîner
-Les prix des entrées aux sites, parcs et réserves sauf mention contraire dans le « A payer sur place ».
-Assistance 7j/7j, 24h/24h par une équipe francophone.
-Le prix et les disponibilités des vols ne sont pas fixés et sont à confirmer au moment de la réservation.
-Les taxes aéroportuaires locales sont généralement comprises dans le prix du billet (sauf si modification de la compagnie aérienne).
-L’assurance individuelle voyage : annulation, assistance-rapatriement, tous risques (possibilité de contracter l’assurance en cliquant ici).
-Le supplément chambre individuelle (sous réserve de disponibilités – à payer au moment de la réservation).
-Les repas non mentionnés au programme.
-Le supplément guide francophone lorsque la prestation est opérée en hispanophone ou anglophone.
-Le vol international.
-Les vols nationaux (proposés « En Option »).
-Les frais éventuels de visa.
-L'équipement technique individuel nécessaire à la réalisation des excursions, sauf mentions contraires (chaussures de randonnée, bâtons, sac à dos…).
-Toute prestation non mentionnée dans « le prix comprend ».
-Toute prestation non mentionnée dans « A payer sur place ».
-La taxe volontaire et facultative « solidarité CO2 ».
-Les boissons alcoolisées lors des repas, les boissons hors repas et les achats personnels.
-Les visites non mentionnées au programme et les visites lors des moments libres.
-Les pourboires.
-Les taxes de sortie de territoire.
-L’entrée au Parc National Eduardo Avaraoa soit 150Bs à ce jour.
-L’entrée sur l’ile d’Incahuasi soit 30Bs à ce jour.
*Les prix des entrées aux parcs et réserves sont donnés à titre indicatif.
Il est important de rappeler que l’Argentine se situe dans l’hémisphère sud. Les saisons sont donc inversées à celles de l’hémisphère nord.
BUENOS AIRES & LA PAMPA
Jouissant d’un climat tempéré et humide les régions de Buenos Aires et de la Pampa se caractérisent par des températures étouffantes l’été (jusqu’à 40°C) et des températures agréables l’hiver (15°C en moyenne) mais qui peuvent malgré tout descendre rapidement jusqu’à 0°C.
Chiffres basés à partir de la ville de Buenos Aires
NORD-OUEST ARGENTIN (NOA)
Il est possible de visiter le NOA toute l’année. La période d’octobre à décembre bénéficie d’un climat chaud et sec avec des différences entre l’Altiplano situé à 4300m d’altitude (15°C) et les vallées basses (30°C). De janvier à mars, les risques d’averses et d’orages sont fréquents.
Les mois hivernaux d’avril à octobre offrent des températures agréables à basse altitude (20°C) et plus fraiches sur les hauts plateaux mais le soleil n’est jamais très loin.
Les variations de températures dues à l’altitude sont importantes, il faut donc prévoir des vêtements chauds pour le matin et le soir.
Les radiations solaires nocives sont à surveiller et à ne pas sous-estimer. Il est impératif de se munir d’un chapeau, de crème solaire et de lunettes de soleil (manches longues recommandées).
Chiffres basés à partir de la ville de Salta
-Pour un séjour inférieur à 90 jours, il est demandé aux ressortissants de l’Union Européenne, un passeport biométrique valable 6 mois après la date retour.
Aucun visa n’est demandé pour les séjours inférieurs à 30 jours.
**Pour les autres nationalités, veuillez consulter auprès du consulat d’Argentine de votre pays.**
*Information délivrée à titre indicatif, merci de vérifier auprès des autorités concernées*
-Aucune vaccination n’est exigée à l’entrée du territoire argentin.
Il est recommandé d’être à jour avec les vaccins DTCP. Sont conseillés également : les vaccins contre l’hépatite A et B et la fièvre typhoïde.
*Information délivrée à titre indicatif, merci de vérifier auprès de votre médecin traitant*
La monnaie actuellement en circulation est le peso argentino.
1€ (EUR) = 16,22$ (ARS) – en mars 2016
A noter que les dollars US seront symbolisés par « US$ » et le peso par « $ ».
Dû à une économie instable et à une inflation importante le cours du peso argentin fluctue au jour le jour.
Il est facile de changer vos euros et vos dollars dans les maisons de change ou les banques.
Votre CB internationale vous sera utile pour effectuer des retraits (entre 320 et 1000 ARS maximum par retrait) ou des paiements directs dans les grandes villes.
Néanmoins les paiements en liquide et en dollars sont souvent appréciés et un rabais peut ainsi être obtenu.
L’Argentine est un pays développé et réputé pour être onéreux. A titre d’exemple, un repas dans un restaurant vous coûtera entre 15 et 25€ en moyenne.
Dans les restaurants, il est de coutume de laisser un pourboire (una propina) équivalent à 10%.
Quant aux excursions, bien que non obligatoire le pourboire est fortement apprécié. Il est évident qu’il s’accorde avec la qualité de la prestation. Il est d’usage de prévoir pour l’ensemble de l’équipe locale, environ 30$US par personne et par semaine.
Pendant l’hiver austral, il y a 5 heures de décalage. Lorsqu’il est 12h à Buenos Aires, il est 17h à Paris.
Pendant l’été austral, il y a 4 heures de décalage. Lorsqu’il est 12h à Buenos Aires, il est 16h à Paris.
En Argentine, deux types de prises sont utilisés : le modèle américain et ses deux fiches plates et le modèle avec 3 fiches alignées rondes. Prévoyez d’emporter un adaptateur.
Il est important de rappeler qu’en tant que voyageur, il est de notre devoir de minimiser l’impact de notre court passage dans le pays dans lequel nous sommes reçus comme simple « invité ».
Aussi, nous nous permettons de vous rappeler quelques règles :
CULTURE
-Adoptez un comportement discret et courtois.
-Pas de tenue provocante ou ostentatoire.
-Respectez les cultures et traditions des personnes rencontrées. Rappelons que notre visite a pour but de découvrir, s’enrichir et partager. Nous ne sommes pas là pour porter des jugements.
-La vision du tourisme AUTOCHTONE VOYAGE est de proposer un voyage basé sur les relations humaines. Ayez donc l’esprit ouvert et soyez participatif.
-Essayez le plus possible d’instaurer un dialogue et des relations amicales avec la population. Pour cela vous pouvez apprendre quelques mots de la langue du pays, c’est toujours très apprécié.
-Nous avons l’habitude de vivre dans des pays ou rapidité, efficacité et productivité sont exigées. Les pays que vous êtes conviés à visiter ne vivent pas de manière aussi effrénée qu’en Europe. Soyez patients, polis et souriants.
-Demandez toujours la permission avant de photographier et n’insistez pas en cas de refus. Se faire mitrailler à longueur de journée peut ne pas être agréable.
-Respectueux de l’environnement, nous vous demandons de jeter vos déchets dans les endroits prévus à cet effet et lors des sorties en pleine nature, de les rapporter toujours avec vous.
NATURE
-Veillez à respecter les consignes des guides et gardiens des parcs lors des visites. Nombreux sont les sites naturels qui ont opté pour un balisage de sentiers de découverte. Ils ont été créés afin de protéger un écosystème sensible au passage massif de l’homme. Certains passages jugés dangereux pour les visiteurs sont ceints d’un périmètre de sécurité qu’il est fortement conseillé de respecter. Ne risquez pas votre vie ni celle de la nature qui vous entoure pour une simple photo !
-Abstenez-vous au maximum de piller les sites naturels de leurs pierres, coquillages, fleurs ; certaines espèces sont en voie de disparition et c’est tellement plus sympa de visiter un lieu avec tous ses éléments plutôt que vide et dénudé.
-N’écrivez pas, ne gravez pas dans les roches ou sur les arbres : c’est moche ! Ce serait dommageable pour les générations futures!
-Pour les plongeurs, le corail est en réel danger et sa régénération est extrêmement lente, soyez vigilants avec vos palmes.
-Pensez à parler à voix basse lors de vos immersions dans la nature afin de ne pas déranger ses habitants.
-Ne jamais nourrir les animaux ! Ce sont des animaux sauvages, les alimenter c’est leur faire perdre leurs techniques de chasseur et les rendre dépendants de l’homme. Les habitudes alimentaires des animaux sont sauvages, les chips et morceaux de sandwich/charcuterie peuvent provoquer des maladies.
Enfin, la dépendance les rend agressif et non méfiant de l’homme : perte des instincts sauvages. Ils deviennent des proies faciles pour les braconniers.
-Ne participez pas au commerce animal vivant ou mort (peaux, fourrure, carapace…). Vous contribueriez au tarissement de la biodiversité. De plus, ces pratiques sont sévèrement punies par la loi, en vertu des accords pour la protection des espèces.
DONS
-Les pays que vous êtes amenés à visiter possèdent généralement une économie et donc un niveau de vie largement inférieur au notre. Certaines personnes ne gagnent pas plus de 15$/mois.
Notre venue et donc notre argent peut attirer la convoitise et créer des situations poussant à l’aumône, se transformant en dépendance à long terme. Il peut être préférable de donner à des organisations, des autorités, des associations ou écoles plutôt qu’à des particuliers.
Dans la majorité des cas, les produits offerts sont revendus, alimentant toujours plus le marché noir.
-Evitez la distribution directe de médicaments aux populations. Rappelons que l’usage de ces produits pourrait être nocif sans consultation préalable d’un médecin.
Les hôpitaux et dispensaires opteront pour un usage plus adéquat.
N’est-il pas mieux de donner une canne à pêche et le savoir-faire à un pêcheur plutôt que le poisson directement ?
-Pour les dons aux particuliers, préférez les faire aux personnes avec qui vous auriez noué une relation privilégiée.
CO2 SOLIDAIRE
– Eternel débat entre l’achat du droit de polluer pour les uns et la volonté d’un acte purement éco-citoyen ; la compensation CO2 est selon nous l’occasion d’ouvrir nos consciences et de nous éduquer à la solidarité climatique et environnementale.
L’agence AUTOCHTONE VOYAGE s’engage à compenser ses gaz à effets de serre qu’elle émet au quotidien : déplacements professionnels, fournitures de bureau, consommation énergétique…
Vous pouvez également faire le choix d’agir pour l’environnement en participant à la compensation des émissions de CO2 de vos trajets. Le transport aérien étant le plus polluant.
Votre don se traduit par des actions auprès des populations vulnérabilisées par le changement climatique. Ses actions sont développées et menées sur le terrain par le GERES (Groupe Energies Renouvelables, Environnement et Solidarité), une ONG indépendante, spécialisée dans l’énergie durable et la protection de l’environnement.
COMMENT COMPENSER
– Tout simplement, lors de la réservation de votre voyage, il vous est alors possible de choisir le pourcentage de votre participation à la compensation en CO2. Pour cela il vous suffit de cocher la case correspondant à votre action : 0%, partielle ou totale.
Le montant des dons se trouve dans la section tarif de chacun de nos circuits.
AUTOCHTONE VOYAGE est un simple intermédiaire entre nos voyageurs et le GERES. Les dons perçus sont intégralement reversés au GERES et à ses projets de solidarité.
Le GERES vous fournira alors un certificat de compensation.
http://www.co2solidaire.org/fr/calculer-reduire-soutenir/menu-particuliers.html
http://www.geres.eu/images/institutionnel/plaquette-geres_fr.pdf
Il est important de rappeler que le Chili se situe dans l’hémisphère sud. Les saisons sont donc inversées à celles de l’hémisphère nord.
SAN PEDRO D’ATACAMA
San Pedro possède un climat de type désertique. Cependant, situé en altitude, les températures sont moins extrêmes que dans le reste de l’Atacama.
En hiver, entre juin et août, les températures varient entre 0°C et 22°C. En été, de décembre à mars le mercure monte entre 16°C et 32°C.
Les amplitudes thermiques, infligées par le désert et l’altitude, provoquent de grandes variations de température entre les heures de grandes expositions solaires et le reste de la journée. Il faut donc prévoir des vêtements chauds pour le matin et le soir.
Les mois de janvier à mars correspondent à ce que l’on appelle « l’hiver bolivien ». Des pluies sont possibles et les orages électriques sont nombreux.
Les pluies sont en générales courtes et passagères mais dommageables : routes coupées, inondations, fermeture de sites, éboulements…
Les mois de septembre et octobre sont parfois sujets à de vents violents entrainant des tempêtes de sable (100km/h).
Les radiations solaires nocives, amplifiées par des ciels bleus et dégagés, de fortes températures et l’absence d’ombre sont à surveiller et à ne pas sous-estimer. Il est impératif de se munir d’un chapeau, de crème solaire et de lunettes de soleil (manches longues recommandées).
Les Ciels dégagés d’avril à décembre permettent une observation des étoiles optimale. Les mois de janvier à mars sont plus instables, l’observation est possible mais d’avantage sujette à reprogrammation voire à annulation.
Chiffres basés à partir de la ville de San Pedro d’Atacama
Pour un séjour inférieur à 90 jours, il est demandé aux ressortissants de l’Union Européenne, un passeport valide plus de 6 mois après la date retour. La carte de tourisme remise à votre arrivée doit être soigneusement gardée, elle sera réquisitionnée à votre sortie du territoire chilien.
*Informations délivrées à titre indicatif, merci de vérifier auprès des autorités concernées*
Pour les autres nationalités, veuillez consulter auprès du consulat du Chili de votre pays.
Les douanes chiliennes représentées par le SAG (Service Agricole et du Bétail) sont extrêmement rigoureuses. La géographie insulaire du pays (cernée par les Andes au nord et à l’est, par le Pacifique à l’ouest) la protège naturellement des maladies, virus et autres bactéries. A votre arrivée sur le territoire (par voie terrestre ou aérienne), un document de déclaration du contenu de vos effets personnels est à remplir. Il est notamment interdit d’introduire sur le territoire des produits d’origines animales et végétales. Vos bagages sont inspectés avec soin et attention. Les douaniers accompagnés de leurs chiens ne plaisantent pas et tout manquement à la règle s’accompagne d’une amende sévère.
Exemple classique : le trognon de pomme !
-Aucune vaccination n’est exigée à l’entrée sur le territoire chilien.
Il est recommandé d’être à jour avec les vaccins DTCP. Sont conseillés également : les vaccins contre l’hépatite A et B et la fièvre typhoïde.
*Information délivrée à titre indicatif, merci de vérifier auprès de votre médecin traitant*
-L’eau du robinet est potable, cependant, par précaution, il est préférable de consommer de l’eau minérale (notamment dans les régions centrale jusqu’au grand nord où les sols sont très minéraux).
Il est appelé Puna au Chili et en Argentine ou Soroche au Pérou et en Bolivie.
Le Mal Aigu des Montagnes (MAM) survient en général à partir de 3500m d’altitude, lors d’une montée trop rapide en altitude et est provoqué par un manque d’oxygène dans nos poumons.
Il est très fréquent de l’expérimenter, n’importe quel individu peut y être exposé et il est bénin dans la majorité des cas.
Ce mal survient avec la chute de la pression atmosphérique s’accompagnant d’une raréfaction de l’air progressive alors que l’on s’élève en altitude.
Ce syndrome se manifeste par des maux de tête, des nausées, l’essoufflement au repos, une fatigue anormale, des pertes d’équilibres, une irritabilité, une perte d’appétit… Ces symptômes sont récurrents chez la majorité des voyageurs expérimentant l’altitude.
Pris en considération et communiqués à votre guide afin qu’il puisse agir, les maux s’atténuent généralement rapidement.
Cependant ça ne doit pas non plus être pris à la légère.
En cas d’aggravation des symptômes, vous devez immédiatement avertir un médecin, sans quoi vous pourriez vous exposez à des complications cérébrales ou pulmonaires potentiellement fatales :
Afin de prévenir le mal d’altitude, il est recommandé d’opter pour une acclimatation par étape. C’est pour cela que nos circuits prévoient une montée progressive dans les Andes.
Une fois sur place, nous vous conseillons de vous reposer et de ne pas faire d’efforts physiques importants (courir est à proscrire).
Evitez de trop manger, une nourriture grasse et salée, les viandes rouges et l’alcool.
Veillez à boire beaucoup d’eau pour rester bien hydraté.
Lorsque les symptômes apparaissent, le retour à une altitude basse reste le traitement le plus efficace.
En cas de symptômes léger, la prise d’antalgiques courants (paracétamol et aspirine) peut suffire pour faire disparaitre les maux.
Ne pas s’auto-médicamenter.
Pensez à consulter votre médecin traitant avant le départ.
Les circuits en altitude sont déconseillés aux personnes souffrant de problèmes respiratoires.
La monnaie locale est le peso chileno (CLP) majoritairement indiqué avec le sigle $.
1 € (EUR) = 771,93$ (CLP) – en mars 2016
Les espèces en euros et en dollars américains sont facilement échangeables dans les banques ou dans les maisons de change.
Les cartes bancaires sont désormais monnaie courante en ville, pour des achats auprès de restaurants ou de grandes enseignes.
On trouve des distributeurs automatiques partout. Il faut cependant prévoir des sommes importantes pour vous rendre dans les régions plus isolées. En période de forte affluence, les distributeurs sont souvent pris d’assaut et ne sont pas toujours approvisionnés rapidement.
Le coût de la vie au Chili est relativement élevé. Par exemple, un plat au restaurant vous coûtera entre 20 et 25€ sur l’île de Pâques et en Patagonie du sud et entre 10 et 15€ dans le reste du pays.
Dans les restaurants, il est de coutume de laisser un pourboire (una propina) équivalent à 10%. Lorsque le paiement se fait par CB, le serveur vous demandera d’ailleurs si vous souhaitez inclure directement ou non le pourboire.
Quant aux excursions, bien que non obligatoire le pourboire est fortement apprécié. Il est évident qu’il s’accorde avec la qualité de la prestation. Il est d’usage de prévoir pour l’ensemble de l’équipe locale, environ 30$US par personne et par semaine.
En été au Chili, il y a 4 heures de décalage. Lorsqu’il est 12h à Santiago, il est 18h à Paris.
En hiver au Chili, il y a 5 heures de décalage. Lorsqu’il est 12h à Santiago, il est 16h à Paris.
Il n’y a besoin ni d’adaptateur ni de transformateur puisque les prises chiliennes utilisent le même modèle et la même tension en 220/240v.
Il est important de rappeler que la Bolivie se situe dans l’hémisphère sud. Les saisons sont donc inversées à celles de l’hémisphère nord.
Il existe deux saisons. La saison des pluies s’étend partout sur le pays entre octobre et mars.
L’ALTIPLANO BOLIVIEN
La Paz - Titicaca – Oruro – Salar de Uyuni - Potosi
La région des hauts plateaux bénéficie d’un climat froid et sec. Le ciel est généralement dégagé et ensoleillé.
Cependant les mois d’octobre à mars correspondent à la saison des pluies.
Les régions limitrophes avec le Chili sont alors souvent menacées par les chutes de neige et les fermetures de passages frontières.
La saison la plus favorable se situe entre avril et octobre bien que les mois de juin, juillet et août soient aussi les plus froids.
Les amplitudes thermiques, infligées par l’altitude, provoquent de grandes variations de température entre les heures de grandes expositions solaires et le reste de la journée. Il faut donc prévoir des vêtements chauds pour le matin et le soir.
Les radiations solaires nocives, amplifiées par des ciels bleus et dégagés, de fortes températures et l’absence d’ombre sont à surveiller et à ne pas sous-estimer. Il est impératif de se munir d’un chapeau, de crème solaire et de lunettes de soleil (manches longues recommandées).
Chiffres basés à partir de la ville de La Paz
Chiffres basés à partir de la ville d’Uyuni
Chiffres basés à partir de la ville de Copacabana
L’AMAZONIE
Il est fréquent que la saison des pluies paralyse la région, annulation du trafic aérien, routes coupées, boues importantes. Les températures sont alors chaudes et humides (30 à 35°C).
Les mois d’avril à octobre correspondent à la saison sèche et la chaleur dans la journée est alors moins étouffante. A noter, la faible amplitude thermique entre le jour et la nuit.
Dans cette région, il est impératif de se munir d’un chapeau, de crème solaire, de crème anti-moustique, de manches longues et de lunettes de soleil.
Chiffres basés à partir de la ville de Rurrenabaque
-Pour un séjour inférieur à 90 jours, il est demandé aux ressortissants de l’Union Européenne, un passeport valable 6 mois après la date retour.
Aucun visa n’est demandé pour les séjours inférieurs à 30 jours.
*Pour les autres nationalités, veuillez consulter auprès du consulat de Bolivie de votre pays.*
**Informations délivrée à titre indicatif et susceptibles d’être modifiées, merci de vérifier auprès des autorités concernées**
***Pensez également à vérifier les formalités d’entrées lors de vos escales aux Etats-Unis (passeport biométrique – ESTA).***
-Il est recommandé d’être à jour avec les vaccins DTCP. Sont conseillés également : les vaccins contre l’hépatite A et B et la fièvre typhoïde.
- Le vaccin contre la fièvre jaune est obligatoire pour les séjours en dessous de 3200m d’altitude.
-Le Paludisme est présent dans les régions situées en-dessous de 2500m d’altitude et en zone rurale. Il convient donc d’appliquer des mesures de protection personnelles préventives : vêtements longs, produit anti-moustique, moustiquaire).
-Zika : La Bolivie est touchée par le virus.
Il est donc recommandé à tous de s’imposer personnellement les mesures habituelles de prévention contre les piqûres de moustique.
L’OMS conseille un report du voyage pour les femmes enceintes.
*Information délivrée à titre indicatif et susceptible de modification, merci de vérifier auprès de votre médecin traitant. Vous pouvez également vous renseigner auprès de l’Institut Pasteur.*
-Mal Aigu des montagnes (MAM)
Il est appelé Puna au Chili et en Argentine ou Soroche au Pérou et en Bolivie.
Le Mal Aigu des Montagnes (MAM) survient en général à partir de 3500m d’altitude, lors d’une montée trop rapide en altitude et est provoqué par un manque d’oxygène dans nos poumons.
Il est très fréquent de l’expérimenter, n’importe quel individu peut y être exposé et il est bénin dans la majorité des cas.
Ce mal survient avec la chute de la pression atmosphérique s’accompagnant d’une raréfaction de l’air progressive alors que l’on s’élève en altitude.
Ce syndrome se manifeste par des maux de tête, des nausées, l’essoufflement au repos, une fatigue anormale, des pertes d’équilibres, une irritabilité, une perte d’appétit… Ces symptômes sont récurrents chez la majorité des voyageurs expérimentant l’altitude.
Pris en considération et communiqués à votre guide pour agir dans les plus brefs délais, les maux s’atténuent généralement rapidement.
Cependant ça ne doit pas non plus être pris à la légère.
En cas d’aggravation des symptômes, vous devez immédiatement avertir un médecin, sans quoi vous pourriez vous exposez à des complications cérébrales ou pulmonaires potentiellement fatales :
Afin de prévenir le mal d’altitude, il est recommandé d’opter pour une acclimatation par étape. C’est pour cela que nos circuits prévoient une montée progressive dans les Andes.
Une fois sur place, nous vous conseillons de vous reposer et de ne pas faire d’efforts physiques importants (courir est à proscrire).
Evitez de trop manger ainsi qu’une nourriture trop grasse et salée, évitez les viandes rouges et l’alcool.
Veillez à boire beaucoup d’eau pour rester bien hydraté.
Lorsque les symptômes apparaissent, le retour à une altitude basse reste le traitement le plus efficace.
En cas de symptômes légers, la prise d’antalgiques courants (paracétamol et aspirine) peut suffire pour faire disparaitre les maux.
Ne pas s’auto-médicamenter.
Pensez à consulter votre médecin traitant avant le départ.
Les circuits en altitude sont déconseillés aux personnes souffrant de problèmes respiratoires.
La monnaie locale en Bolivie est le boliviano (BOB).
1€ (EUR) = 7,89 (BOB) – en mars 2016
Il est facile de changer vos euros et vos dollars dans les maisons de change ou les banques partout dans le pays (notamment le dollar).
Votre CB internationale vous sera utile pour effectuer des retraits. Rare sont les enseignes acceptant les paiements par carte.
La vie en Bolivie est bon marché. A titre d’exemple, un plat dans un restaurant vous coûtera entre 5 et 10€.
Le pourboire (la propina) n’est pas obligatoire mais bienvenue. Il est évident qu’il s’accorde avec la qualité de la prestation.
Il est d’usage de prévoir pour l’ensemble de l’équipe locale, environ 35$US par personne et par semaine.
D’avril à Septembre, soit l’hiver austral, il y a 6 heures de décalage. Lorsqu’il est 12h à La Paz, il est 18h à Paris.
D’octobre à mars, soit l’été austral, il y a 5 heures de décalage. Lorsqu’il est 12h à La Paz, il est 17h à Paris.
En Bolivie, deux types de prises sont utilisées : le modèle américain et ses deux fiches plates et le modèle avec fiches alignées rondes. Prévoyez d’emporter un adaptateur.